Jean-Charles Simon exprime son engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique en plaisantant sur le fait d'avoir tagué son propre Hummer pour dénoncer la pollution. Réagissant à une étude de l'UNIL, il souligne que le lac Léman émet chaque année autant de CO₂ que le trafic automobile de Lausanne. Proposant une solution provocante, il suggère de « vider le lac » en construisant un barrage dans le Valais et en ouvrant les vannes à Genève. Il imagine même l’espace ainsi dégagé pour une autoroute, voire des rizières, soulignant que, malgré le coût, il s’agirait d’un investissement pour l’avenir.